J’en ai déjà parlé dans un autre billet, plus urgent, plus pressant, plus difficile, aussi, celui-là.
Mais c’est vraiment quelque chose d’incroyable, qui change des vies, qui en améliore tant, qui fait de toutes petites –et de plus grandes- différences au quotidien. Et qui n’est jamais, jamais en vain. Jamais, jamais perdu.
C’est aussi une qualité qui se perd un peu, de nos jours, et c’est très dommage car il s’agit selon moi d’une des plus belle et grande qualité qui soit.
Larousse dit : Fermeté, force de caractère qui permet d’affronter le danger, la souffrance, les revers, les circonstances difficiles : Avoir du courage. Ardeur mise à entreprendre une tâche : Travailler avec courage. Force, énergie et envie de faire une action quelconque : N’avoir pas le courage de se lever.
Moi je dis que cela revêt bien des formes, et que les gens qui en font preuve ne le savent souvent même pas.
C’est ma bonne amie qui s’occupe maintenant seule de sa belle puce, et qui mène de front une belle carrière, est très active et dynamique, présente pour ses proches, et qui vient de subir une petite intervention. Et qui fait une bien belle ‘job’ à tous ces niveaux, d’ailleurs !
Je dis aussi que c’est mon autre amie qui est entrepreneure, en processus de changement, qui élève sa fille en co-parentalité et s’occupe maintenant de sa maman qui vit des moments plus difficiles. Et qui le fait avec beaucoup d’humanité, d’intelligence, de gentillesse.
C’est ma maman qui vit des choses pas faciles, et mon papa qui les vit par obligation, par procuration et… par amour. Et qui conserve son humour débridé dans l’adversité!
Je dis enfin que c’est mon chéri, qui est toujours tellement juste volontaire, prêt à aider les autres, prêt à réaliser la prochaine tâche ou le prochain projet, qui est toujours là pour ses enfants, toujours enthousiaste, tellement motivant.
Et je leur dis à toutes/tous mon admiration pour ce qu’ils sont, et ce qu’ils font.
Que c’est un honneur, pour moi, d’être entouré de tout ce courage…