Depuis plusieurs années déjà, avec le retour du printemps et du beau temps, un autre grand plaisir (tout aussi attendu en ce qui me concerne) arrive en parallèle: celui du vin rosé.
Moi, c’est depuis que je suis allée en Provence que j’apprécie vraiment ces vins. Pour les y avoir vraiment découverts, mais aussi pour en avoir goûté de très bons.
Je préfère donc les français, mais j’aime aussi un ou deux espagnols, et même italien.
Le vin rosé, d’abord, on le boit bien frais. Et même froid, en ce qui me concerne. C’est donc tellement rafraîchissant. Et c’est léger, grisant. Très grisant! Ça appelle à la légèreté, à l’appréciation totale des plaisirs -de toutes sortes- qui l’accompagnent bien souvent. C’est convivial, festif et délicieux.
Pas plus compliqué que ça. Mais tellement agréable!
Moi j’adore le siroter en apéro, en plein après-midi de soleil (et de congé – encore mieux!), pour accompagner poisson, poulet et autres sur le bbq, etc.
Et comme ces petits vins aux jolies teintes de couchers de soleil sont très abordables, aucune raison de ne pas en profiter pendant toute la saison!
Note à moi-même: étant donné que mon billet est dans la catégorie «fréquenté» (à nouveau, confrontée à mes propres limites, je suis!), je vais donc terminer en mentionnant que l’on peut les trouver dans une SAQ près de chez soi, presqu’à l’année maintenant, mais surtout à partir de la mi-mai.
Rose de plaisir
categories: De mes yeux frequente, Un plaisir
Hum..c’est dr